Pourquoi y a-t-il différentes sortes de pommes?

Pour obtenir des pommes plus grosses, plus juteuses,
plus fermes ou plus sucrées, les pomiculteurs font des croisements
entre diverses espèces de pommiers.

Ces croisements permettent de créer différentes sortes de pommes.

 

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Les pommiers sont parmi les arbres fruitiers les plus anciens de la Terre.
On croit qu’ils sont apparus il y a des millions d’années.

 

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Les premières pommes étaient minuscules.
Tu n’aurais pas pu en manger car elles contenaient
un poison mortel appelé cyanure.

 

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Au Canada, la culture de la pomme a débuté au 17e siècle.
Elle a été introduite en Nouvelle-Écosse par les premiers colons français.
Les fruits étaient séchés afin d’être conservés.
On s’en servait pour cuisiner des desserts et toutes sortes de plats.

 

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En Nouvelle-France, c’est Louis Hébert qui a apporté les premiers pommiers.
Louis Hébert s’est installé à Québec en 1617 avec sa femme,
Marie Rollet, et leurs trois enfants, Anne, Guillemette et Guillaume.

 

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Louis Hébert a été le premier colon canadien à vivre des produits de la terre.
Il défrichait la terre et la cultivait à l’aide de simples outils à main.
Il cueillait aussi des herbes sauvages.
Il s’en servait pour fabriquer des médicaments.

 

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Pour voir une photo du monument qui a été construit en l’honneur de Louis Hébert et de sa femme, Marie Rollet, clique ici.

 

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En 1985, la Société canadienne des postes a émis un timbre qui rend hommage à Louis Hébert.
La faux, le mortier et le pilon qui entourent Louis Hébert ont été dessinés
pour illustrer ses deux occupations principales: l’agriculture et la pharmacie.

 

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Le premier verger a été planté au Québec vers 1660.
Ce sont des prêtres catholiques, les sulpiciens, qui ont planté ce verger
sur les flancs du mont Royal.

 

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Le mont Royal est une montagne située en plein cœur de la ville de Montréal.
Si tu es curieux d’en savoir plus sur le mont Royal et les activités qu’on peut y pratiquer, clique ici.

 

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En 1792, les colons français ont découvert que des pommiers
et des vignes sauvages poussaient sur les flancs du mont Saint-Hilaire.

Pour en apprendre un peu plus sur l’histoire de la pomme
au mont Saint-Hilaire, clique ici.